S'améliorer en orthographe
L’orthographe est un incontournable de la vie quotidienne. Apprise dès l’école élémentaire, elle est au cœur de toute production écrite au collège et au lycée, tant en cours de français que dans les autres matières. Ne pas la maîtriser est souvent vu comme un handicap qui ne fait que s’accentuer au fil des années. Néanmoins, rien n’est perdu, tout le monde peut s’améliorer en orthographe. Que tu sois collégien, lycéen ou adulte, Alveus te donne ici des clés pour t’améliorer !
Trouver une méthode personnalisée pour travailler son orthographe
En guise d’introduction, nous te proposons une vidéo réalisée par deux professeurs de linguistique que tu peux retrouver sur YouTube. Elle permet de dédramatiser les erreurs d’orthographe.
1. Quelques précisions lexicales
Dans le langage courant, on parle souvent de « fautes d’orthographe ». Pourtant, il est mieux de parler « d’erreurs d’orthographe ». En effet, la faute porte sur la responsabilité de la personne qui la commet et implique la presque impossibilité d’y remédier. En revanche, « l’erreur d’orthographe » est bien corrigeable ! Tu peux en être sûr, tout le monde fait des erreurs d’orthographe, le tout est d’en faire le moins possible et d’éviter les plus courantes et les plus sanctionnées surtout lors d’examens comme le Brevet ou le Bac.
2. Savoir identifier les erreurs commises
Pour tout problème, il y a une solution. Mais pour le résoudre, il faut l’identifier. Il faut alors bien distinguer des problèmes ponctuels d’orthographe et des problèmes liés à une dysorthographie ou à une dyslexie. La dyslexie et la dysorthographie nécessitent un suivi plus poussé et plus adapté. Néanmoins, tous les conseils ici peuvent bien sûr t’aider !
Si tes problèmes d’orthographe sont plutôt ponctuels, il faut que tu saches s’ils portent principalement sur la conjugaison, sur des mots invariables, sur les pluriels, sur les homonymes, sur les adverbes… Pour cela, la méthode est de bien relire tes copies et les commentaires de tes professeurs. L’idéal est d’en faire un carnet.
On a tous des tics de langage, et tous des tics d’orthographe. Tu le remarqueras, les erreurs sont souvent les mêmes ou de même nature.
3. Trouver la meilleure méthode pour travailler son orthographe
Tu le sais certainement déjà, mais tout le monde n’a pas la même façon de retenir ou d’apprendre une notion. Pour l’orthographe, c’est exactement la même chose. Si tu as une mémoire auditive, visuelle ou kinesthésique (ce qui signifie que tu retiens avec des mouvements), tu n’apprends pas de la même façon. Si tu ne connais pas encore ton type de mémoire, je te conseille de faire ce petit test ou de participer à l’atelier « comprendre et mémoriser » qui t’aidera à découvrir ton type de mémoire.
Ici, nous récapitulons des méthodes pour pallier aux erreurs d’orthographe en fonction de ton type de mémoire. Mais, il est à noter que nous disposons tous de ces trois mémoires, l’une ou plusieurs sont juste plus développées que les autres !
a) Si tu as une mémoire visuelle
Avec la mémoire visuelle, tu retiens particulièrement en photographiant et en conservant des images mentales des connaissances.
- Fabrique des cartes mentales en fonction des erreurs que tu fais fréquemment. Note sur des post-it les mots qui te posent problème, des moyens mnémotechniques ou les règles. Colle-les dans les endroits où tu passes beaucoup de temps : cela peut même être sur le côté de ton ordinateur, ou près d’un miroir !
- Pour chaque erreur d’orthographe, essaie, en regardant le mot ou la règle de te créer une image mentale. Tu peux alors réaliser des cartes mentales : ce sont des schémas, des dessins qui fonctionnent comme des outils pour ta pensée. En quelques sortes, ces cartes reflètent le fonctionnement de ta pensée et chacun a le sien !
Exemple : cette carte mentale permet de différencier les différentes orthographe du mot “vert/verre/vers”.
Vert : la couleur verte fait penser à un arbre, qu’on a dessiné sur le T.
Verre : les deux « r » ressemblent à des verres retournés (le récipient).
Vers : une flèche a été dessinée sur le S car cette préposition indique une direction.
b) Si tu as une mémoire auditive
Tu retiens en écoutant et en parlant. Cela peut sembler plutôt handicapant pour l’orthographe, mais des solutions existent !
Tu peux enregistrer les règles d’orthographe et les écouter régulièrement.
C’est aussi l’occasion de laisser parler ton imagination : tu peux très bien réécrire des paroles d’une musique que tu aimes sur les règles ou l’orthographe de certains mots.
Tu peux écouter des règles d’orthographe mises en chanson, comme le fait la chaîne Youtube « L’orthographe en chansons« . La musique t’aidera à mémoriser !
c) Si tu as une mémoire kinesthésique
Tu es acteur et retiens en sollicitant plusieurs parties de ton corps. En effet une personne kinesthésique aime manipuler, fabriquer, bricoler… Tu apprends tout en faisant et en bougeant.
- La méthode la plus efficace pour ce type de mémoire est de copier les mots ou les règles. Tu n’as pas besoin de les copier 100 fois mais de les copier régulièrement ! Le fait de copier te permettra de mémoriser le geste de la main. Ainsi, au moment venu, lorsque tu hésiteras entre deux orthographes par exemple, tu pourras les écrire sur ton brouillon et identifier celle qui est correcte.
- Tu peux aussi te fabriquer des jeux. Celui du mémory est bien adapté ! Fabrique-toi des petites cartes avec les mots dont l’orthographe te pose problème et suis les règles traditionnelles du mémory en retrouvant les deux cartes identiques.
Comment éviter les erreurs d'orthographe en épreuve ?
1. Préparer son épreuve d’un point de vue orthographique
Bien sûr, cela ne paraît pas être la priorité lorsque tu prépares un DST ou une épreuve de Brevet ou Bac. Pourtant, certains professeurs accordent une grande importance à l’orthographe (et ils ont raison !) et enlèvent des points si tu commets trop d’erreurs. De même, que ce soit lors des épreuves du Brevet ou du Baccalauréat, une copie truffée d’erreurs aura du mal à atteindre la moyenne même si le contenu est bon. C’est pourquoi, si tu as l’habitude de faire des erreurs d’orthographe, il faut la travailler avant les épreuves.
- Tout d’abord, en relisant le fameux petit carnet qui contient toutes les erreurs récurrentes déjà commises jusqu’alors.
- Si ce sont des règles d’orthographe ou des mots à apprendre, l’appli Quizlet est super pratique, pour tout type d’apprentissage d’ailleurs ! Tu peux te créer une liste de mots, puis t’interroger sur leur orthographe.
- En apprenant l’orthographe du vocabulaire essentiel à ton épreuve, que ce soit celui des figures de styles en français (comme pour le mot “synecdoque”), ou des roches en SVT. Ces erreurs seront beaucoup moins pardonnables…
2. La relecture : un moment essentiel pour s’améliorer
Dans l’idéal et tu le sais certainement déjà, il faut garder du temps pour se relire : entre 5 à 10 minutes en fonction de la longueur de la copie. Néanmoins, la gestion du temps peut parfois être complexe, notamment lorsqu’il s’agit d’épreuves très courtes ! Pour cela, une solution est de relire immédiatement une partie lorsque tu l’as terminée : cela te permettra d’être plus efficace car tu viendras juste de l’écrire, mais aussi de bien te recentrer dans ton développement pour te lancer dans la deuxième ou la troisième partie !
Lorsque tu fais ta relecture tu dois bien prêter attention à bien :
- Vérifier l’accord des noms et des adjectifs.
- Vérifier que la terminaison du verbe correspond bien au sujet dont il est question.
- Vérifier l’orthographe des mots incontournables de l’épreuve que tu as appris au préalable.
- Te remémorer les moyens mnémotechniques évoqués juste au-dessus pour éviter les erreurs les plus commises, même si l’idéal est bien de les convoquer au moment même où tu écris.
Top 10 des erreurs les plus commises en examen
Les erreurs sont beaucoup plus nombreuses dans les copies. C’est normal, c’est très difficile de se concentrer à la fois sur ce que tu as à écrire, sur le temps et gérer ton éventuel stress. Dans cette rubrique, on essaie de te donner des petites méthodes pour éviter notamment les « erreurs d’inattention ».
Celles-ci sont des pistes, des idées afin de trouver tes propres solutions à tes propres problèmes.
Ces erreurs d’inattention sont souvent les plus importantes, et les plus sanctionnées. Voici un petit récap’ de toutes les erreurs courantes qu’il faut essayer d’éviter et des solutions pour y parvenir.
1. Choisir entre les terminaisons “er” ou “é.e.s”
La solution réside dans un réflexe lors de la rédaction : lorsque tu dois écrire un verbe qui se termine par le son [é], il faut remplacer celui-ci par un verbe du troisième groupe comme « prendre » ou « apprendre » par exemple, pour savoir s’il s’agit d’un infinitif ou d’un participe passé.
Il a étudié toute la nuit pour ce contrôle.
Dans l’exemple proposé, lorsque tu peux remplacer « étudié » par « appris » et non par « apprendre », alors la terminaison est “é”.
2. La terminaison des participes passés
Parfois, il est complexe de savoir quel est la terminaison de certains participes passés. Pour y remédier, il faut passer au féminin :
Une chose est-elle finite ou finie ?
Elle est finie, donc le masculin s’écrit « fini » et non pas “finit” ou “finis”.
3. L’accord des participes passés avec le verbe être et le verbe avoir
L’une des règles les plus redoutées des élèves est l’accord du participe passé avec l’auxiliaire avoir.
Avec le verbe être, on accorde le participe passé avec le sujet.
Avec le verbe « avoir », on accorde le participe passé avec le COD si celui-ci est placé avant le verbe.. Le COD est la personne ou la chose sur laquelle porte l’action. On le retrouve dans la phrase en répondant à la question “quoi?”
Les élèves ont relu leurs cours.
Dans cette phrase, le COD est “leurs cours”. Le participe passé ne s’accorde pas car le COD est placé après le verbe.
Les cours que les élèves avaient relus étaient très complexes.
Dans cette phrase, le COD est “les cours”. Le participe passé s’accorde car le COD est placé avant le verbe.
Les crêpes que j’ai mangées :
Le COD « les crêpes » est placé avant le verbe, il faut donc accorder le participe passé au COD.
4. Les homonymes grammaticaux
Dans ces deux tableaux, nous récapitulons l’ensemble des homonymes grammaticaux très sujets à des erreurs d’orthographe et les petites astuces pour ne plus se tromper !
5. La conjugaison du passé simple
C’est l’une des conjugaisons les plus redoutées des collégiens et lycéens (et des plus âgés !). On a souvent tendance à se mélanger les terminaisons des différents groupes. Malheureusement, il n’y a pas vraiment de moyen mnémotechnique pour cette conjugaison ce qui implique de la revoir très régulièrement. Tu peux juste retenir qu’aucun verbe des deuxième et du troisième groupe ne peut avoir une terminaison en “-a ». Nous te redonnons ici le tableau de conjugaison.
J’aimai
Tu aimas
Il aima
Nous aimâmes
Vous aimâtes
Ils aimèrent
Je finis
Tu finis
Il finit
Nous finîmes
Vous finîtes
Ils finirent
J’aperçus
Tu aperçus
Il aperçut
Nous aperçûmes
Vous aperçûtes
Ils aperçurent
6. Les doublements de consonnes
Beaucoup d’erreurs sont également commises en raison des doublements de consonnes. À nouveau, il n’y a pas vraiment de moyen mnémotechnique global. Mais certains existent pour des mots en particulier :
- Nourrir prend deux “r” car on se nourrit plusieurs fois par jour…
- …mais mourir ne prend qu’un “r” car on ne meurt qu’une seule fois.
- Un balai ne prend qu’un seul “l”, car le balai n’a qu’un manche…
- … mais un “ballet” prend deux “l”, car il faut deux jambes pour danser.
- Courir ne prend qu’un seul “r” car lorsque l’on court, on manque d’air (“r”)
Voici les consonnes qui se doublent souvent: “c”, “f”, “l”, “m”, “n”, “p”, “r”, “s” et “t”. Ici, nous récapitulons les principales règles de ces doublements :
- Les consonnes doubles sont souvent entre deux voyelles
Exemples : ballon, assurance, vallée, affaire, apporter, appuyer, essuyer
Exceptions : académie, dame, trafic - Les noms et adjectifs en « -as », « -el », « -en », « -on », « -os » et certains en « -ot » doublent la consonne finale au féminin
Exemples : grasse (gras), personnelle (personnel), végétarienne (végétarien), lionne (lion), sotte (sot)
- Les adjectifs en « -ant » donnent des adverbes en « -amment » et les adjectis en « -ent » donnent des adverbes en « -emment »
Exemples : couramment (courant), évidemment (évident)
- La négation lexicale, expression d’un contraire par l’ajout du préfixe « i », incite le doublement de la première consonne.Exemples : illogique (logique), irréel (réel), irresponsable (responsable)
- Quand on ajoute le préfixe « a » à certains verbes/mots, on double la consonne initiale.
Exemples : accourir (courir), affluer (fluer), allier (lier), apporter (porter), acclamer…
Exception : apercevoir - Les verbes en « -eler » et en « -eter » doublent la consonne lorsque le « e » qui la précède se prononce « è ».
Exemples : j’appelle mais nous appelons (appeler) et je jette mais nous jetons (jeter).
Exceptions : j’achète (acheter), je pèle (peler). - Courir, pouvoir et voir doublent leur consonne au futur de l’indicatif et au présent du conditionnel.
Exemples : tu courras / tu courrais; tu pourras/ tu pourrais; tu verras/tu verrais.
7. Parmi et hormis
Hormis est la contraction de “hors” et du participe passé “mis” (mise), il prend donc un “-s”.
Je n’aime pas les mathématiques, hormis les statistiques.
Parmi s’écrit toujours sans “-s”, même s’il est suivi d’un pluriel.
Parmi tous ces morceaux, celui-ci est mon préféré.
8. Futur simple ou conditionnel présent ?
Il arrive fréquemment de confondre les terminaisons du futur et de du conditionnel notamment pour la première personne du singulier. Cela repose en fait sur des nuances.
- On utilise le futur quand l’action est programmée, prévue :
Cet été, j’irai aux Maldives. - On utilise le conditionnel quand l’action n’est pas certaine (dans le cas d’un souhait ou d’une action faisable « sous condition »). Souvent, ces phrases commencent par « si ».
Si j’étais riche, j’irais aux Maldives.
Dans cette phrase, la personne exprime un souhait, réalisable sous la condition d’être riche.
9. La négation
La négation se compose toujours de deux éléments : ne … pas, ne … plus, ne … jamais. Souvent il arrive de ne pas respecter cette règle lorsque l’on utilise le pronom personnel “on”. On est en effet tenté de penser que la liaison suffit mais il faut bien penser à ajouter un “n’”.
- On n’en a pas.
- On n’a pas révisé.
10. “tout” ou “tous” ? “leur” ou “leurs”?
On écrit “tout” lorsqu’il est suivi d’un nom au singulier ou d’un verbe et “tous” lorsqu’il est suivi d’un nom au pluriel ou lorsqu’il désigne un groupe de personnes ou d’objets.
- Il faut tout apprendre pour demain ?
- Tous les jours, il se lève de bonne humeur.
- Ils sont tous là.
“Leur” peut être un pronom personnel ou un adjectif possessif.
« Leur » est un adjectif possessif si on peut le remplacer par “ce”, “cette”, ou “ces”
– Lorsque “leur” est un pronom personnel, il ne prend jamais de “s”: Il leur avait bien dit relire ce chapitre !
– Lorsque “leur” est un adjectif possessif, il peut s’écrire avec un “s” ou sans. Dans ce cas, on accorde en nombre avec le nom.
Ils ont bien compris leurs erreurs.
Ils ont bien compris leur erreur.
4 techniques pour travailler l’orthographe sans t’en rendre compte !
Bien sûr, il existe des méthodes pour travailler ton orthographe d’une façon plus décontractée et déconnectée des cours.
1. Lire
La première est bien entendu de lire régulièrement. C’est généralement de cette manière que l’on apprend l’orthographe. Mais, ne t’inquiète pas, pas besoin de lire de la grande littérature pour travailler l’orthographe.
Tu peux très bien lire tout type de littérature (Fantastique, BDs) tant que ces textes ont bien sûr été corrigés par une maison d’édition. En plus de te faire travailler ton orthographe, la lecture permet aussi d’enrichir ton vocabulaire, parfait pour les commentaires littéraires !
2. Regarder des films ou des séries avec des sous-titres
L’idéal, et tu le sais certainement déjà, est de regarder des séries ou des films en langue originale. Cela permet de travailler les langues de mettre des sous-titres. Nous te proposons de de mettre des sous-titres en Français, ce qui te permet de mémoriser l’orthographe. Néanmoins attention ! À nouveau, ces sous-titres doivent avoir été réalisés dans le cadre d’une production reconnue : Netflix par exemple.
3. Travailler ton orthographe avec des vidéos sur YouTube
- La meilleure chaîne pour travailler ton orthographe est celle du Projet Voltaire sur lequel nous reviendrons dans une rubrique suivante. Elle permet d’expliciter et de corriger des erreurs d’orthographe courantes et cela aussi pour les personnes sourdes ou malentendantes.
- On peut aussi citer la chaîne « L’Antisèche » qui dispose d’une playlist entièrement dédiée à l’orthographe et à la grammaire.
4. Le correcteur orthographique
De façon générale, il faut essayer au maximum d’éviter de faire des erreurs d’orthographe même dans tes messages. Ce n’est pas forcément super pratique de toujours tout écrire en toutes lettres mais alors, il faut privilégier des abréviations qui ont un sens orthographique. Par exemple, préférer « pq » à « pk » pour “pourquoi”. Cela peut paraître bête, mais à force de ne pas faire attention à la manière dont tu peux écrire tes messages, ton cerveau enregistre des orthographes incorrectes.
Parfois, le correcteur orthographique peut t’y aider, mais fais tout de même attention car en réalité il ne corrige pas les accords et ne donne forcément la conjugaison requise dans la phrase.
Les méthodes incontournables pour améliorer son orthographe
1. Investir dans les manuels fondamentaux
Dans le domaine, le fameux BLED et le Bescherelle restent des références. L’idéal, pour le BLED est le tout-en-un qui propose aussi bien de te faire travailler ton orthographe, mais aussi ta grammaire et ta conjugaison. Mais encore une fois, tout dépend des problèmes que tu rencontres !
2. Faire des dictées régulièrement
Même si cela peut être stressant, faire des dictées reste l’une des meilleures façons de progresser en orthographe. Cela permet surtout de voir où tu fais des erreurs et d’alimenter ce fameux petit carnet ou de rayer des erreurs que tu ne commets plus. Pour cela, le site de référence est www.ladictee.fr.
Il te propose des dictées pour tous les niveaux mais aussi pour travailler des points orthographiques particuliers.
3. Passer le certificat Voltaire
Le projet Voltaire te propose de passer un certificat qui atteste ton niveau d’orthographe. Il se déroule dans un centre d’examen agréé et délivre un diplôme qui est un véritable plus. Quels que soient ton âge, ton niveau, ton objectif, le Projet Voltaire permet des parcours individualisés pour t’y préparer. C’est un beau défi qui peut te motiver à progresser en orthographe !
4. Faire un stage chez Alveus
Chez Alveus, nous te proposons des stages personnalisés entièrement dédiés à l’orthographe. Qu’ils durent une ou deux semaines, l’idée est de comprendre ensemble quelles sont les erreurs d’orthographe que tu commets et comment on peut les pallier en s’adaptant donc à ton profil. Tu verras que tu t’amélioreras très vite en Français !